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                                                          MEDIASCENDANCES

 

    « Mediascendances » se veut un journal trimestriel d’information et de réflexion : d’information parce qu’il se propose de transmettre du savoir c'est-à-dire des connaissances sous différentes formes et dans différents domaines : aucun n’est exclu à priori. De réflexion parce qu’il est normal et naturel de réfléchir sur le passé, le présent et l’avenir à la lumière des données divulguées.

         Les moyens d’aujourd’hui le permettant, les informations, sitôt apparues, sont tout de suite mises à la portée d’un nombre maximal de personnes. Le problème qui se pose est  que, selon les médias, ( journaux ) certaines informations sont privilégiées et d’autres oubliées volontairement. D’où la nécessité de l’existence de plusieurs médias, concomitamment : pluralité.

         Placé sous le signe de « l’Universalité et de ses conséquences » ! Qu’est-ce à dire ?

 L’universalité, c'est-à-dire la totalité de ce qui existe et  s’offre à nous, peut être interprétée comme une globalité de perceptions tendant à nous faire appréhender un monde unifié derrière les apparences, tous les lointains, territoires diffus constituant ce que l'on pressent comme étant " à connaître " par delà la réalité que nous étreignons, et qui nous appelle pour une extension de vie.

La réalité globale de notre monde se compose d'éléments disparates qui, pour la plupart d'entre eux, nous demeurent inconnus mais dont nous pouvons dire qu'ils nous appellent parce que nous en savons l'existence. Nous pressentons que notre Terre-patrie, de par sa diversité, est source d'émerveillement, ce qui nous conduit à concrétiser nos élans vers elle, pour plus de maturité et " d'intégralité ". Cette aspiration à " être plus ", stimulée par l'envie de découvrir ce qui se promet au-delà de nos champs d'investigation habituels, s'apparente à une quête pour pénétrer plus avant une réalité qui nous échappe mais que nous pressentons comme devant être conquise, simplement parce que le désir nous en est donné.

 Et tout cela est propre à relativiser notre position, ce qui a pour effet de la préciser, nous conférant ainsi une définition plus exacte. Les conséquences de l’universalité c’est que chacun de nous est en équation avec le genre humain, ce qui nous conduit à tenir compte de tout ce qui n’est pas nous dans nos spécificités ethniques et culturelles, ce qui veut dire interpréter ce que sont les autres comme une source potentielle d’apport et d’enrichissement, au plan personnel et collectif, sans pour autant renier, bien au contraire, ce qui fait notre singularité. Nous ne pouvons plus agir comme si nous étions seuls au monde, sur notre précarré ancestral, alors que nous sommes tous interreliés par la même atmosphère, les mêmes océans, la même éthique de respect ( devant être la même ) pour tous ; interreliés aussi par les outils de communication modernes que sont les liaisons satellitaires, l’ internet, ou plus simplement le téléphone, et qui nous permettent une instantanéité en matière de transmission d’informations.

         Notre monde a rapetissé, ce qui le rend plus intelligible, plus accessible en même temps que plus ouvert et plus perméable. Et ceci a eu pour conséquence qu’une certaine mondialisation par trop mercantile voulut se substituer à une autre et dont les effets sont l’assujetissement des peuples à ses diktats. ( cf : O G M , entre autres. ) Nous avons eu et nous aurons encore à nous défendre contre l’uniformisation culturelle qu’elle tend à imposer. Néanmoins la coopération entre les peuples paraît être un objectif plus louable et correspondant mieux à l’idée que l’on se fait du monde à venir.

        Quoi qu’il en soit, l’heure est au fédéralisme avec quand même un certain nombre de corollaires inévitables mais souhaitables : nous avons vu les états se regrouper en unions sur tous les continents et nous continuons de voir la démocratie progresser. Nous voyons les préoccupations environnementalistes se répandre et être mises en œuvre, plus ou moins selon les pays, par la conscience accrue des dangers qui nous menacent. Nous voyons le droit d’ingérence  humanitaire prendre de l’importance et les droits civiques élémentaires se conforter. Notre monde se coalise et se moralise, certes lentement mais sûrement car personne ne peut et ne veut faire fi des avancées réalisées.

          L’universalité porte ses fruits que nous avons à intégrer dans nos modes de vie. « Une nouvelle façon d’être est nécessaire si nous voulons poursuivre !  »    A. Einstein.

( Une nouvelle façon de penser est nécessaire si nous voulons survivre. )

         C’est indubitablement le début d’une nouvelle ère, à l’œuvre, à vivre, à favoriser , à promouvoir….

          Par delà les réticences, les divisions, par delà les frontières, les continents, les océans, les plaines, les forêts, les montagnes, la vie trace son chemin unificateur. Souhaitons que nous soyons de plus en plus nombreux à le suivre.  

  

          Quelques explications , définitions :

 

1)     La mondialisation :

           C’est la généralisation du libre-échange économique à toute la planète, sans restriction et avec le moins de règlementation possible. Il en résulte que les plus forts, nommons-les les grosses entreprises cotées en bourse, multinationales et leurs actionnaires, s’enrichissent de plus belle au détriment des travailleurs du nord et du sud, ( chômage pour les uns et absence de législation pour les autres ) et au détriment de l’environnement.

 2 ) L’antimondialisation :    ( altermondialisation )

            C’est le credo de tous ceux qui entendent s’opposer à la mondialisation économique et ses méfaits. Différents courants existent, qui ne sont pas hostiles à des formes de mondialisation intelligente et c’est pourquoi, le terme d’antimondialisation ne convenant pas, on leur a trouvé un nouveau vocable pour les nommer : l’altermondialisation.

 3 ) L’altermondialisation :

             Ce terme signifie « pour une autre mondialisation ». Cela veut dire que les altermondialistes ne sont pas opposés à d’autres formes de mondialisation, respectueuses des peuples, des individus qui les composent et de l’environnement. Il en existe différents courants.

 4 ) La démondialisation :

            Représente la volonté de ceux qui veulent supprimer la mondialisation économique actuelle pour lui substituer une mondialisation règlementée en fonction du respect que l’on doit aux personnes, citoyens de tous pays, et à la planète. ( Peut être considérée aussi, dans son aboutissement, comme de l’altermondialisation.)

 

                              

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