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CE QU'IL VOUS RESTE A FAIRE POUR ETRE EN SUPERFORME

 

                LE LETTRE DU DOCTEUR RUEFF

                Mes conseils pour vivre mieux et plus longtemps

Ce qu’il vous reste à faire pour être en superforme !

Chère amie, cher ami,

Vous avez le sentiment d’être en bonne santé, ou au moins, en bonne forme. En « superforme » dites-vous…

En êtes-vous vraiment sûr ? C’est ce que nous allons voir.

Est-ce que vous parvenez à vous réveiller chaque jour de bonne humeur, cinq minutes avant la sonnerie du réveil ?

Ouvrez-vous vos volets en pensant: « Quelle bonne journée vais-je passer ! »

Vous n’attrapez jamais ces petits coups de froid sans gravité mais qui gâchent quand même la vie ?

Lorsque vous sortez un peu tard, que vous faites quelques excès, arrivez-vous à éviter ce terrible mal de crâne qui vous donne envie de rester au lit le lendemain matin ? Ou alors, avez-vous au contraire des valises sous les yeux ?

Etes-vous capable de faire au moins trois à cinq heures de sport par semaine ?

N’avez-vous jamais mal au dos, au ventre, des ballonnements ou des indigestions ? Vous sentez-vous parfois un peu trop irritable ? Avez-vous l’impression d’être perpétuellement fatigué ?

Et votre peau… Avez-vous remarqué comme elle est sèche ? Comme vos ongles sont cassants, striés ou tachés de blanc, et à quel point vos cheveux sont ternes et sont parsemés de pellicules ?

Je m’arrête là…

Tous ces petits signes montrent que des carences existent parfois, alors même qu’on croit être « en forme ».

Il ne vous aura pas échappé qu’à aucun moment je n’ai cité un nom de maladie.

Pourquoi, à votre avis ?

Parce qu’il faut bien distinguer deux choses. D’un côté, il y a ceux qui posent des diagnostics et qui peuvent formuler des traitements quand quelqu’un ne va pas bien, qu’il est malade. Ça, c’est le rôle exclusif du médecin.

Mais ce n’est pas parce qu’on n’a pas besoin d’aller voir le médecin qu’il n’y a rien à faire pour veiller sur sa forme physique, et protéger sa santé par la nutrition. Ça, c’est votre rôle à vous.

On le sait aujourd’hui, 30 à 40 % des cancers sont dûs à des erreurs d'alimentation, affirme l'ensemble des épidémiologistes ! Ces données sont bien connues depuis quelques années seulement. Mais il est urgent de s’en saisir et d’en tenir compte.

C’est de cela dont il est question ici. Pour garder cette forme, pour la retrouver, ou pour arriver à avoir une « superforme », il faudra parfois ne pas hésiter à recourir à la supplémentation nutritionnelle.

Car de plus en plus souvent, cette supplémentation sera nécessaire pour rester en bonne forme. Contrairement à ce qu’affirment les « autorités » de santé en France, aujourd’hui, dans une majorité de situations, les aliments ne suffisent plus à nous apporter un optimum nutritionnel.

Des aliments vidés de leurs nutriments

Une dizaine d’études d’universités canadiennes, américaines et britanniques, publiées entre 1997 et 2015, font état d’une dégringolade de la concentration en nutriments dans nos aliments.

Ces travaux, résumés dans l’étude de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute, confirment l’essor de la « calorie vide » : grasse, sucrée, mais inutile pour la santé.

Même dans les aliments réputés sains, les teneurs en vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisées par 2, par 25, voire par 100, en un demi-siècle.

Cela parait invraisemblable. Mais pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 1950, il faudrait aujourd’hui en manger une demi-cagette !

Prenons l’exemple de la pomme.

Hier, quand nos grands-parents croquaient dans une transparente de Croncels, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os.

Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apporteraient que 4 mg de vitamine C chacune, selon Philippe Desbrosses, docteur en sciences de l’environnement à l’université Paris VII, pionnier de l’agriculture biologique en France et en Europe, et auteur d’ouvrages passionnants sur le sujet.

Cela n’a nullement empêché les « french nutritionnistes » de critiquer l’étude de Brian Halweil. Toutefois, quand on voit que ces critiques sont émises par Interfel et l’ANPP (Association nationale pommes poires), on peut logiquement se poser la question des conflits d’intérêt !

Il faudrait manger 21 oranges par jour pour être en forme !

Précieuse pour notre vue et nos défenses immunitaires, la vitamine A est en chute libre dans 17 des 25 fruits et légumes scrutés par des chercheurs canadiens. Le déclin est total pour la pomme de terre et l’oignon qui, aujourd’hui, n’en contiennent plus le moindre gramme.

Il y a un demi-siècle, une seule orange couvrait la quasi-totalité de nos besoins quotidiens – les fameux apports journaliers recommandés (AJR) – en vitamine A.

Aujourd’hui, selon l’étude citée, il faudrait manger 21 oranges pour ingurgiter la même quantité de cette précieuse vitamine. De même, une pêche des années 1950 équivaudrait à 26 pêches aujourd’hui et les pommes de terre, l’oignon, le brocoli n’apporteraient quasiment plus de calcium. La viande, elle, apporterait beaucoup moins de fer que jadis…

Si nous prenions vraiment notre forme et notre santé en main ?

Pour cela, nous n'avons pas forcément besoin d'apprendre la médecine ou la nutrition. De bonnes informations peuvent déjà nous aider. Si, en plus de ces quelques conseils, vous trouvez un médecin qui saura vous conseiller ou vous « guider » dans cette direction, c'est une véritable chance.

C’est ce que j’essaie de faire avec mes patients.

« Je ne suis pas malade, donc je suis en bonne santé ».

Dans mon cabinet, j'entends cet aphorisme à longueur de journée.

Pourtant, combien parmi nous sont brutalement « tombés malades » alors qu’ils étaient en pleine santé ?

Certains consultaient régulièrement leur médecin, faisaient des analyses, des bilans, des radios… Comment ne s'est-on pas aperçu de la maladie qui allait les frapper ?

Les médecins formés à la seule médecine des symptômes et de la maladie, ne seraient-ils pas capables de proposer des programmes individualisés de prévention ?

C’est vrai, la nutrition et la « médecine préventive de la forme et de la santé » sont des approches nouvelles. Jusqu'alors, elles étaient surtout réservées aux managers et aux sportifs.

Mais pourquoi tout le monde n’en profiterait-il pas ?

Les avancées technologiques incroyables des ingénieurs qui conçoivent les bolides des Grand Prix de Formule 1 profitent bien aux véhicules de monsieur et madame tout-le-monde… Pourquoi ne serait-ce pas pareil avec la santé ? Est-ce qu’on pourrait imaginer des solutions pour atteindre une forme de « super santé » ?

La « supernutrition » pour une « supersanté»

Etre en bonne santé, ça veut dire quoi ? La très officielle Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme « un état d'équilibre de nos différentes fonctions physiques, psychiques »

Cela ne nous avance pas beaucoup !

Quand on est à l'abri des différentes manifestations de la « méforme » et plus encore de la maladie, et quand notre bonne santé se prolonge bien au-delà de la moyenne statistique de vie qui nous est proposée, alors, peut-être commençons-nous à comprendre le concept de « supersanté » ?

« La supernutrition bouleverse toutes les idées reçues en matière de diététique. Notre alimentation moderne industrielle, appauvrie et polluée ne contient pas tous les éléments nutritifs indispensables à notre santé. On peut même penser que la présence de certains polluants (herbicides, pesticides), outre leurs effets toxiques individuels maintenant bien démontrés, serait à l’origine d’un phénomène « contre-nutritionnel », les toxiques prenant lieu et place, dans l’organisme, des nutriments essentiels ».

« Contrairement à la plupart des animaux, l'homme ne peut pas faire la synthèse de certaines vitamines. Il doit les trouver dans sa nourriture. Or, il mange peu, pour ne pas grossir. Donc il manque de vitamines. Il doit en absorber une “surdose” quotidienne choisie selon son tempérament et son mode de vie personnels. »

Ce texte est tiré d’un livre paru en 1978, sous le titre « Supernutrition » (Buchet/Chastel). Séduit par cet ouvrage qui passa relativement inaperçu à l’époque, je n’ai depuis cessé de tenter d'évaluer la réalité de ce qu'il énonçait, au sein de ma propre patientèle.

Après cela, de nombreux auteurs se sont penchés sur ces questions, donnant lieu à une multitude de livres passionnants guidant les lecteurs vers la « supersanté » (voir ces références données en notes).

De la nutrition à la supernutrition

La modification de la qualité des aliments, de leur concentration en nutriments et l'organisation de la distribution de l'agro-alimentaire ne tiennent pas compte de la variation des besoins spécifiques à chaque individu. Ceux-ci peuvent évoluer de 1 à 100, ce qui va logiquement justifier des supplémentations adaptées s’il on est candidat à « la supersanté ».

Qu’est-ce qui fait varier autant les besoins de chaque personne ?

- La spécificité génétique (hérédité)

- Le sexe et les âges de la vie (enfance, adolescence, grossesse…)

- La qualité de l'environnement (tabac, alcool, pollutions de l’air, des rivières, de la mer…)

- L'activité physique et psychique

- Le stress, sa durée, son intensité…

- La survenue, l’évolution et la qualité du traitement de certaines maladies (comme les maladies infectieuses)

- L'effet de certains médicaments et surtout de l’effet de la consommation prolongée de certains médicaments, soi-disant « indispensables au traitement des affections chroniques ».

La nutrition et la médecine orthomoléculaire (du grec ortho=juste) s'attachent à réaliser et à maintenir les apports et les équilibres moléculaires pour une optimisation de notre santé.

  • Équilibres nutritionnels (protéines, lipides, glucides, vitamines, minéraux, acides gras, acides aminés)
  • Équilibres enzymatiques
  • Équilibres endocrinologues
  • Équilibres fonctionnels et organiques.

Il faut bien garder à l’esprit que l'ensemble des régulations de l'organisme est assuré et maintenu par ces éléments relativement simples et limités que l'on nomme nutriments et micronutriments.

Ces nutriments sont parfaitement identifiables soit par leur présence soit par leurs fonctions cliniques ou paracliniques qui nous sont de mieux en mieux connues.

Ces mêmes nutriments interviennent sur tous nos métabolismes fondamentaux. Malgré tous les progrès analytiques, il reste difficile de définir un apport optimum permanent.

En revanche, il est aisé de comprendre que les déficiences chroniques peuvent faciliter la survenue de multiples maladies ou leur évolution.

Ainsi l’optimisation nutritionnelle orthomoléculaire, par une meilleure nutrition et/ou par une supplémentation spécifique et individualisée, implique et concerne toutes les spécialités nutritionnelles et médicales tout en n'étant pas une spécialité de plus.

Pour certains auteurs américains, la médecine et la nutrition orthomoléculaires « ouvrent la voie aux autres thérapeutiques… ». Que les choses soient bien claires : elles ne s’y substituent donc pas.

C’est bien ainsi que je les comprends et tente de les mettre à disposition d’un maximum de patients tant en prévention qu’en moyen adjuvant pour la « prévention active » et faciliter le traitement de telle ou telle maladie.

Restez en forme et surtout, surveillez bien votre messagerie !

Dr. Dominique Rueff


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