NOURRITURE SAINE :
y a t il une bonne façon de se nourrir ?
On constate aujourd’hui, par le phénomène de l’obésité et particulièrement chez les jeunes, que quelque chose ne va pas dans l’alimentation de nos concitoyens. Nous voyons aux Etats-Unis et au Mexique ( qui copie le mode de vie des USA ) ce qui pouvaient être auparavant des « phénomènes de foire », des êtres qui ne peuvent se déplacer à cause de leur poids, plusieurs centaines de kilos. ( Le record est à plus de 500 kgs. )
Déjà des médecins disent que nous sommes ce que nous mangeons et certains, de renom, comme le pr. Matié que huit cent sept de nos maladies sont dues à une mauvaise alimentation.
Dans l’antiquité, Hippocrate disait : « que ton aliment soit ta seule médecine ! » Certains préconisent de manger cru. Les végétariens et les végétaliens font toujours plus d’adeptes. Le « bio » est à la mode, les aliments standardisés du commerce ayant perdu leur goût avec leur valeur nutritive à cause de procédés de culture non-naturels.
Notre société se préoccupant de plus en plus du bien-être et se focalisant sur le corps et le confort matériel, voit dans la nourriture un moyen de retrouver son équilibre et un plaisir d’exister, minés par le stress .
Nous pouvons remarquer, déjà, que les animaux sauvages sont apparemment beaucoup moins malades que les « animaux humains » . D’ailleurs certains mammifères, s’ils n’ont pas de prédateurs, prolifèrent très vite : lapins en Australie, ragondins du marais poitevin….
D’autre part, si nous raisonnons logiquement :
Puisque notre dentition est faite, plus pour broyer les aliments que pour trancher, déchiqueter, comme les carnivores ( molaires plus qu’incisives et canines ) , et que nos intestins sont plus longs, beaucoup plus que ceux des grands félins par exemple, parce que les produits carnés qui se décomposent rapidement deviennent toxiques s’ils restent trop longtemps dans le corps, on peut penser à juste titre que l’être humain n’est pas destiné à se nourrir principalement de viande mais de végétaux, pour ces deux raisons.
A suivre,
JEAN VALENCIA