VOITURES    ELECTRIQUES

  La voiture électrique nous est présentée depuis longtemps déjà comme une alternative inévitable à la voiture à  carburant fossile dont le principal inconvénient est qu’elle dégage du CO2 , gaz contribuant à l’effet de serre, principal responsable du réchauffement climatique en cours. Il semble que depuis peu sa promotion se soit accélérée. La généralisation des voitures électriques est-elle imminente ?

        Les temps changent, c’est inévitable et les mentalités s’adaptent. Depuis un certain temps déjà, articles et reportages, informations en tous genres nous annoncent la disparition progressive des moteurs à explosion et l’arrivée prochaine de nouveaux véhicules, issus de technologies récentes dites « propres », ou du moins à visée de propreté : pas de rejet de CO2. Les raisons invoquées sont, dans l’ordre : les préoccupations environnementales, l’augmentation du prix du pétrole, la crise, l’épuisement des énergies fossiles, toutes ces choses égales venant au devant de la scène occuper l’esprit des terriens en attente de changement.

       Au plan technique les voitures électriques sont opérationnelles : confort, puissance des moteurs, spaciosité, ergonomie . Le seul point faible est l’autonomie, sur lequel nous reviendrons plus loin. Comment se fait-il qu’elles ne soient pas plus présentes ? La raison en est le manque de développement de l’infrastructure permettant l’approvisionnement en énergie. A ce sujet le ministère du développement durable a montré sa bonne volonté en présentant, le premier octobre 2009, un plan national pour favoriser le développement des voitures électriques et hybrides re-chargeables.  ( www.developpement-durable.gouv.fr ).

       Quelles sont les solutions envisageables pour faire fonctionner ces véhicules ? :

       Ils tirent leur énergie de batteries ou accumulateurs rechargeables. Il est nécessaire de recharger régulièrement les batteries en les connectant à des prises électriques, privées ( domicile) ou publiques ( voiries, parking, stations.) Le temps nécessaire pour le rechargement est plus ou moins important mais il n’est jamais court. Au domicile le rechargement peut s’effectuer la nuit, par exemple. Une autre solution possible est l’utilisation de batteries interchangeables. Cette solution est à l’étude chez de nombreux constructeurs mondiaux. Cela imposera de repenser l’organisation des stations-service et garages professionnels. On peut imaginer des établissements spécialisés dans l’échange instantané des batteries, comme on le faisait avec les chevaux à l’époque des diligences. ( Que de chemin parcouru pour finalement ne pas aller tellement plus vite ! ) Revenons à l’autonomie c'est-à-dire la distance que l’on peut parcourir en utilisant une recharge : elle est de 160 à 250 kilomètres. Ce n’est pas autant qu’une voiture conventionnelle mais des progrès sont en cours. Dans l’état actuel des choses les voitures électriques sont déjà utilisables en agglomérations ou en campagne sur des distances courtes, ce qui représente une part importante dans la consommation de tout un chacun et permet de diminuer considérablement notre « empreinte écologique » en CO2. ( Empreinte écologique : somme des dégâts causés à l’environnement par un homme ou un groupe d’hommes : ville , région, nation, hémisphère....)

        Les tenants et les aboutissants :

       Il est démontré que la voiture électrique, dans son utilisation, ne pollue pas : pas d’émission de gaz, très peu de bruit. Cependant elle reste source potentielle de pollution, à différents niveaux : sa production va occasionner l’utilisation d’énergies et de matières premières. Par ailleurs il faut prévoir une filière, ou l’améliorer si elle existe, pour le recyclage de ses composants et l’élimination de certains d’entre eux, présents dans les batteries.

- Autre point : l’électricité qu’elle consomme dépend du type d’énergie pour la produire. ( Charbon, éolien, gaz, hydraulique, nucléaire, pétrole, solaire...) et à ce niveau aussi une réflexion est à mener. On le voit, la voiture électrique n’est pas tout à fait le produit immaculé que l’on rêve d’obtenir, mais elle porte avec elle une amélioration plus que significative par rapport aux anciens modèles de voitures «  à combustion  », beaucoup plus polluants.

       L’avenir :

       La voiture électrique s’inscrit donc parfaitement dans une logique de développement durable et nous la verrons fleurir d’autant plus vite que ce dernier sera rapidement et résolument mis en œuvre.Technologiquement, les bureaux d’études et les constructeurs s’investissent. Dans un contexte économique qui impose aux marques, grandes et moins grandes, de renouveler leur gamme de produits face à une concurrence de plus en plus serrée, face aux attentes et exigences des conducteurs-consommateurs qui ont vu leurs dépenses augmenter, le lancement annoncé sur le marché de nouveaux modèles est la réponse appropriée pour stimuler la transition vers l’ ère des nouvelles technologies « non-dommageables » à notre planète.                 

           ( www.developpementdurable.gouv.fr  )                                                                              

                                                                           Patrick  Jakubowski

L' ordre des templiers voit son origine en 1118 par le voyage à Jérusalem de neuf chevaliers francs. En dix ans ils deviennent une institution puissante et prospèrent en Europe et en Méditerranée. Pourtant cette expansion n'est pas appelée à se poursuivre et les jours de cet ordre sont comptés...............

La liberté ouvre sur la créativité parce qu'elle nous oblige à faire des choix. Etre positif c'est opter pour la solution la meilleure parmi celles qui se proposent ; c'est donc choisir d'y croire , ce qui implique une transformation de sa façon d'appréhender les choses.

Vivre recouvre un certain nombre de significations ; peut-on les évoquer toutes ? En voici quelques unes, glanées au fil de l'expérience : vivre et continuer à vivre c'est trouver intérêt à le faire en faisant agir sa volonté en des orientations diverses . Il en va aussi de l'appréciation que l'on a de soi et de notre relation au monde .

   Les centrales nucléaires sont en fonctionnement permanent et produisent continuellement  des déchets radioactifs et qui le restent pendant des milliers d'années ; cela oblige à les stocker en les confinant : les solutions envisagées aujourd'hui par les pays qui les engendrent .

A l'origine la forêt était omniprésente dans nos régions. L'homme ( notre cousin ) , pour développer ses activités, en vint à déboiser à l'excès .Vers la fin du XIXème siècle, la France décide alors de mettre en place des actions de reboisement. C'est toute l'histoire du mont Aigoual , massif des cévennes , qui est redevenu une montagne forestière abritant nombre d'espèces fauniques et floriques l'ayant colonisé autrefois.

Le citron réunit un certain nombre de qualités, vertus pour le corps humain, ce qui le rend  indispensable dans notre alimentation. Originaire de l'Hindoustan, au pied de l'Himalaya, le citron n'a cessé de nous dispenser ses bienfaits, des anciens grecs à Christophe Colomb, en passant par les romains, entre autres.

Agir c'est s'animer de la volonté d'atteindre des objectifs. Nous sommes confrontés à l'obligation d'agir en permanence, d'où la nécessité de bien comprendre les tenants et les aboutissants de  ce que l'on appelle communément " une action " et comment la bien mener : explications .

La nature nous a devancé : nous avons à découvrir que cette grande dame fut  toujours extrêmement créative et que nous pouvons nous inspirer de ses oeuvres. De plus en plus d'entreprises le comprennent et cherchent une optimisation de leurs produits en reproduisant un modèle existant déja au sein des nombreuses productions de la vie sur Terre.

La consommation de sel est question de dosage et de bon sens rétabli car, trop souvent, l'habitude non remise en cause est excès. D'où la nécessité d'amener quelque information sur le sujet.

l'agriculture biologique est apparue en réaction à l'avènement de l'agrochimie, au milieu du XIXème siècle. Elle correspond à un respect des cycles établis, à l'oeuvre depuis des millénaires au sein de la nature. C'est un secteur en plein développement car stimulé par le désir des consommateurs de se nourrir sainement de produits naturels.

La crise actuelle de la consommation a des causes éthiques. Le temps est révolu où on lançait un produit pour voir si ça marche ! Aujourd'hui attendre signifie prendre du retard sur ses concurrents. Le développement durable est en marche,que rien ne semble pouvoir arrêter !